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Nicolas Jullien (IMT Atlantique - LUSSI - Département Logique des Usages, Sciences sociales et Sciences de l'Information - IMT Atlantique - IMT Atlantique - IMT - Institut Mines-Télécom [Paris], MARSOUIN - Môle Armoricain de Recherche sur la SOciété de l'information et des usages d'INternet - UR - Université de Rennes - UBS - Université de Bretagne Sud - ENSAI - Ecole Nationale de la Statistique et de l'Analyse de l'Information [Bruz] - UBO - Université de Brest - IMT - Institut Mines-Télécom [Paris] - UR2 - Université de Rennes 2 - UBL - Université Bretagne Loire - IMT Atlantique - IMT Atlantique - IMT - Institut Mines-Télécom [Paris], LEGO - Laboratoire d'Economie et de Gestion de l'Ouest - UBS - Université de Bretagne Sud - UBO - Université de Brest - IMT - Institut Mines-Télécom [Paris] - IBSHS - Institut Brestois des Sciences de l'Homme et de la Société - UBO - Université de Brest - UBL - Université Bretagne Loire - IMT Atlantique - IMT Atlantique - IMT - Institut Mines-Télécom [Paris]) |
Abstract: |
Academic institutions and their staff use, adapt and create software. We're
thinking of business tools used to carry out their mission: teaching
management (Moodle) or subject teaching support (such as Maxima for formal
calculus), for example. We're talking about software resulting from research
work, designed by a researcher or a team as part of a research project (funded
by ANR, Europe, etc. or not) or as a research service for a third party. These
projects can last for decades (such as the Coq program proof assistant
project, or the GPAC multimedia content distribution platform). We discuss why
this software is produced, with what resources, the interest that institutions
derive from it, what we call the "valorization" of software resulting from
scientific research. The latter is multifaceted, as are the missions of
scientific institutions: social value (contribution to the world heritage of
knowledge), financial value (contracts), economic value (business creation),
scientific value (publication), image value (visibility of the institution
among target audiences: students, researchers, companies, prescribers). |
Abstract: |
Les établissements scientifiques, et leurs salariés, utilisent, adaptent,
créent du logiciel. On pense aux outils métiers pour réaliser leur mission :
gestion des enseignements (Moodle) ou support d'enseignement d'une matière
(comme Maxima pour le calcul formel), par exemple. Nous parlerons ici des
logiciels issus de travaux de recherche, conçus par un chercheur ou une
équipe, dans le cadre d'un projet de recherche (financé, par l'ANR, l'Europe,
etc. on non financé), ou en prestation de recherche pour un tiers. Ces projets
peuvent s'étendre sur des décennies (comme le projet d'assistant de preuve de
programme Coq, ou la plateforme de distribution de contenu multimédia GPAC).
Nous discutons pourquoi ces logiciels sont produits, avec quelles ressources,
l'intérêt que les établissements en retirent, ce que nous appellerons la «
valorisation » des logiciels issus de la recherche scientifique. Celle-ci est
multiple, comme le sont les missions des établissements scientifiques :
valorisation sociale (contribution au patrimoine de connaissance mondiale),
valorisation financière (contrats), valorisation économique (création
d'entreprises), valorisation scientifique (publication), valorisation d'image
(connaissance de l'institution parmi les publics-cibles : étudiants,
chercheurs, entreprises, prescripteurs). |
Keywords: |
Open / free software, Open access, university, Public research, value, valorisation, université, Recherche publique, Open access - évaluation |
Date: |
2024–01–23 |
URL: |
http://d.repec.org/n?u=RePEc:hal:journl:hal-04473408&r=ppm |