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Thibaut Couturier (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Sarah Bauduin (OFB - Office français de la biodiversité);
Guillelme Astruc (OFB - Office français de la biodiversité);
Aurélie Blanck (OFB - Office français de la biodiversité);
Coline Canonne (OFB - Office français de la biodiversité, CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Thierry Chambert (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Jules Chiffard (OFB - Office français de la biodiversité);
Alix Cosquer (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Sarah Cubaynes (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Laurence Curtet (OFB - Office français de la biodiversité);
Emmanuelle Dortel (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Nolwenn Drouet‐hoguet (OFB - Office français de la biodiversité);
Christophe Duchamp (OFB - Office français de la biodiversité);
Charlotte Francesiaz (OFB - Office français de la biodiversité);
Oksana Grente (OFB - Office français de la biodiversité, CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Adrien Jailloux (OFB - Office français de la biodiversité);
Maëlis Kervellec (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Valentin Lauret (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Jean‐dominique Lebreton (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Julie Louvrier (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Lucile Marescot (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Raphaël Mathevet (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Marie‐laure Navas (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Charlotte Perrot (OFB - Office français de la biodiversité);
Nicolas Poulet (OFB - Office français de la biodiversité);
Pierre‐yves Quenette (OFB - Office français de la biodiversité);
Michel Salas (OFB - Office français de la biodiversité);
Guillaume Souchay (OFB - Office français de la biodiversité);
Cécile Vanpé (OFB - Office français de la biodiversité);
Aurélien Besnard (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier);
Olivier Gimenez (CEFE - Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - UPVM - Université Paul-Valéry - Montpellier 3 - EPHE - École Pratique des Hautes Études - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - IRD [France-Sud] - Institut de Recherche pour le Développement - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement - Institut Agro Montpellier - Institut Agro - Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement - UM - Université de Montpellier) |
Abstract: |
1. To document and halt biodiversity loss, monitoring, quantifying trends and
assessing management and conservation strategies on wildlife populations and
communities are crucial steps. 2. With increasing technological innovations,
more and more data are collected and new quantitative methods are constantly
developed. These rapid developments come with an increasing need for
analytical skills, which are hardly accessible to managers. On the other hand,
researchers spend more and more time on research grant applications and
administrative tasks, which leaves fewer opportunities for knowledge transfer.
This situation tends to increase the gap between researchers and managers.
Here, we illustrate how to fill this gap by presenting two long-term
collaborations between a research unit—Centre for Functional and Evolutionary
Ecology; CEFE—and a national agency—French Biodiversity Agency; OFB. 3. The
first example is a collaboration providing statistical support to national
parks for the design and implementation of scientific monitoring protocols. It
relies on the recruitment of a research engineer funded by OFB and physically
based at CEFE, who works closely with OFB and managers. The second example is
a collaboration on the management of large carnivores. For more than 10 years,
it has involved several PhD students and post-doctoral fellows co-supervised
by CEFE and OFB, and has recently resulted in the recruitment of a permanent
OFB researcher who works half-time at CEFE and half-time at OFB. These case
studies illustrate the modalities of collaborative work between public
institutions acting at different levels of biodiversity conservation for the
co-construction of research agendas and the exchange of knowledge. 4. These
collaborations also bring out some challenges. Inter-knowledge and mutual
learning remain difficult at scales larger than that of the teams concerned.
The staff working at this interface needs to possess good listening skills,
respect all partners' needs and demonstrate flexibility. Knowledge exchanges
require time, thus reducing productivity according to quantitative metrics
such as scientific publications or institutional reports. These collaborations
can therefore be difficult to assume socially, and remain tenuous because they
rely on a good understanding of the differences in governance of the various
partners. 5. Based on our experience, success is favoured by long-term and
close relationships, and by co-construction of projects at early stage.
Sharing a space (i.e. office or building) facilitates face-to- face
interactions during planned work sessions and casual meetings that build up a
shared scientific culture and mutual trust. |