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on Microfinance |
By: | McHugh, Neil (Yunus Centre for Social Business and Health, Glasgow Caledonian University, Glasgow, Scotland, UK); Biosca, Olga (Yunus Centre for Social Business and Health, Glasgow Caledonian University, Glasgow, Scotland, UK); Donaldson, Cam (Yunus Centre for Social Business and Health, Glasgow Caledonian University, Glasgow, Scotland, UK) |
Abstract: | Background There is a growing need to identify upstream public health interventions as an alternative means of acting on health. Microfinance has been portrayed in this regard in public health journals. Furthermore, microfinance has spread to more-advanced economies where it offers potential as an alternative means of acting on persistent and growing health inequalities. However recent considerations establish that randomised controlled trials (RCTs) represent the ‘gold standard’ in impact evaluation of microcredit. Discussion In seeking to evidence ‘microcredit as a public health initiative’ in a Western context we question the notion of trials as the apparent gold standard for microcredit evaluations by comparing this approach to developments in thinking about study design for complex public health interventions. This field has moved onto a more eclectic approach to study design for complex interventions with recognition given to insights drawn from non-randomised study designs and qualitative studies. Furthermore, we consider ethical issues currently missing from the global debate on impact assessment, raised by the notion of mounting microcredit RCTs in Western contexts. These issues relate to equipoise and the screening devices used for randomisation and raise the question of whether it would ethically be possible to conduct a microcredit RCT in a Western context. Summary RCTs represent an attempt to improve the internal validity of microfinance impact evaluations. However, questions remain regarding the appropriateness of adopting this method to the exclusion of other important sources of evidence. Thus while microfinance may hold potential in the field of public health, the sector may first have to heed methodological lessons from public health to enhance its evidence base. |
Keywords: | 2015-01 |
Date: | 2015–01 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:yun:hewpse:201501&r=mfd |
By: | Mobin, Mohammad Ashraful; Alhabshi, Syed Othman; Masih, Mansur |
Abstract: | The commercialization process and over-emphasis on sustainability apparently improve Micro finance institutions’ financial performance and the scale in terms of total number of borrowers and average loan size. However, whether focusing on financial sustainability is necessarily at the sacrifice of serving the less poor clients or social and financial performance of MFIs, depends on the social values and religion. The inconsistent results of previous studies implicate that linear regressions may be insufficient to explain the sustainability-outreach linkage because of potential non-linear relationship between financial sustainability and average loan size. To solve the puzzle, this study employs relatively advanced dynamic difference and system GMM as well as non-linear Hansen threshold techniques. To the best of our knowledge this is the first study to apply non-linear technique over a sample of conventional and Islamic MFIs at the same time. The results tend to indicate the existence of religiosity effect on the social and financial performance of microfinance institutions, while the study does not find any evidence of sustainability-outreach paradox. Our findings present important insights for Islamic and conventional microfinance managers and donors as well as policy makers of the country to formulate a better policy. Social performance will harmonize the financial performance of microfinance institutions, so the MFIs authorities should not be necessarily worried about the financial sustainability while focusing on outreaching the poor. |
Keywords: | microfinance, Islamic finance, religion, non-linear threshold, system GMM |
JEL: | C22 C58 G21 I32 |
Date: | 2015–06–24 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:pra:mprapa:65242&r=mfd |
By: | Rachael Meager |
Abstract: | Bayesian hierarchical models serve as a standard methodology for aggregation and synthesis, used widely in statistics and other disciplines. I use this framework to aggregate the data from seven randomised experiments of expanding access to microcredit, assessing both the general impact of the intervention and the heterogeneity across contexts. The general impact on household profits is small, with a posterior mean of 26 USD PPP per year, and an impact of zero lies well within the central 50% posterior credible interval. Standard pooling metrics for the studies indicate 65-95% pooling on the treatment effects, suggesting that the site-specific effects are informative for each other and for the general case. Further analysis incorporating household covariates shows that the cross-study heterogeneity is almost entirely generated by heterogeneous effects for the 27% of households who previously operated businesses before microcredit expansion. A cautious assessment of the correlations between site-specific covariates and treatment effects using a Bayesian Ridge procedure indicates that the interest rate on the microloans has the strongest correlation. |
Date: | 2015–06 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:arx:papers:1506.06669&r=mfd |
By: | Mariano Bosch; Angel Melguizo; Ximena Peña; David Tuesta |
Abstract: | This study analyzes different individual\'s factors that impact savings conditions, based on two innovative surveys performed by the Inter-American Development Bank (IDB) for the cities of Lima and Mexico D.F. |
Keywords: | Emerging Economies, Financial Inclusion, Latin America, Mexico, Peru, Working Paper |
JEL: | D14 D83 G21 |
Date: | 2015–06 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:bbv:wpaper:1519&r=mfd |
By: | Bruno Crépon (Centre de Recherche en Économie et Statistique (CREST)); Elise Huillery (Département d'économie); Esther Duflo (Massachusetts Institute of technology [Cambridge]); William Parienté (Université Catholique de Louvain); Juliette Seban (Centre d'économie de la Sorbonne) |
Abstract: | RÉSUMÉ Le dispositif CréaJeunes, lancé en 2007 par l’Adie, est un programme de formation à la création d’entreprise qui a pour objectif de promouvoir l’insertion des jeunes en difficulté. CréaJeunes consiste à accompagner les jeunes dans la préparation de leur projet de création d’entreprise par le biais de formations collectives adaptées, un suivi individualisé (avec des tuteurs) et un soutien dans la recherche de financement. CréaJeunes a été mis en oeuvre auprès de jeunes de 18 à 32 ans issus essentiellement de quartiers défavorisés. Nous présentons ici les résultats d’une expérience contrôlée mesurant les effets de l’accompagnement CréaJeunes. Cette expérience repose sur le tirage au sort des jeunes éligibles au programme CréaJeunes entre 2009 et 2011. Parmi 1445 jeunes éligibles au total, 970 ont bénéficié du dispositif CréaJeunes (groupe test) tandis que 475 n’en ont pas bénéficié (groupe témoin). Nous avons réalisé des enquêtes auprès de ces deux groupes de jeunes en moyenne 16 et 28 mois après leur entrée dans l’expérimentation. Ces enquêtes portaient sur un grand nombre de caractéristiques nous permettant d’évaluer l’impact du programme sur la situation globale des jeunes. Nous sommes en effet intéressés par l’impact de CréaJeunes sur la création d’entreprise, la performance des entreprises et plus généralement sur la situation professionnelle des jeunes ainsi que leurs revenus. Nous cherchons aussi à évaluer l’impact de la formation sur le bien-être des jeunes, mesuré par leurs conditions de vie des jeunes et leur état psychologique. Les résultats de l’évaluation montrent tout d’abord que le programme CréaJeunes constitue une réelle plus-value en termes de formation pour le public ciblé car, en son absence, seule une minorité des jeunes a eu accès à un programme d’accompagnement à la création. En effet, 29% des jeunes du groupe témoin ont suivi une formation à la création contre 74% dans le groupe test. Ces derniers ont été exposés à 4 semaines de plus de formation et ont suivi pour la majorité d’entre eux le contenu proposé par CréaJeunes avec des formations collectives et un accompagnement individuel. Ensuite, l’évaluation montre que CréaJeunes, même si elle a comblé une demande de formation non satisfaite par d’autres dispositifs, n’a globalement pas eu d’effet sur la situation économique des jeunes aux horizons de temps étudiés. Si la création d’entreprise peut apparaître comme un objectif central du programme, les résultats montrent cependant que les jeunes formés n’ont pas plus créé leur entreprise que les jeunes du groupe témoin. CréaJeunes augmente très légèrement la probabilité (de 4 points de pourcentage) de création d’entreprise d’une catégorie spécifique de jeunes, ceux qui n’avaient pas encore créé 16 mois après le début de l’expérimentation mais avaient encore le projet de le faire. Cependant ces jeunes ont finalement arrêté l’activité avant le 28ème mois. On observe également que l’appui a eu pour effet de retarder la création d’entreprise. L’évaluation reporte aussi un effet plutôt négatif de la formation sur le chiffre d’affaires des entreprises effectivement créées. En effet le chiffre d’affaires est plus faible pour les jeunes du groupe test : une réduction de 44% du chiffre d’affaires du dernier mois par rapport au groupe témoin à 16 mois et une diminution de 36% pour le chiffre d’affaires moyen depuis le début de l’activité à 28 mois. Il est possible que cette performance moindre vienne en partie du décalage du moment de la création. CréaJeunes a toutefois permis d’accroître légèrement la probabilité d’accès au microcrédit (de 4 points de pourcentage). En conséquence, le programme n’a pas eu d’effet sur le revenu tiré de l’activité. En termes de situation professionnelle, CréaJeunes a eu un effet négatif limité sur l’emploi salarié et le travail en intérim dans le court terme, qui est allé de pair avec une légère hausse du chômage (et une légère augmentation des allocations). Ces effets n’ont pas eu de conséquence à moyen terme puisque la situation professionnelle des deux groupes est redevenue semblable 28 mois après le tirage (les écarts existent encore mais ne sont plus significatifs). En fin de compte, le programme n’a pas eu d’effet sur le revenu disponible des jeunes. Globalement, les résultats suggèrent que les jeunes ayant participé à CréaJeunes ont été en position d’attente (liée à la durée de la formation) expliquant le décalage en termes de création d’entreprise et de recherche d’emploi par rapport aux jeunes du groupe témoin. En termes d’impact sur le bien-être des jeunes, nous évaluons l’effet de la participation à CréaJeunes sur des indicateurs de conditions de vie ainsi que sur l’état psychologique des jeunes. Etant donné que CréaJeunes n’a pas eu d’effet sur la création d’entreprise, le fonctionnement de l’entreprise, la situation professionnelle et les ressources disponibles, l’impact attendu sur les conditions de vie est limité. Nous constatons en effet que les niveaux de consommation, possessions de biens et habitudes de consommation étaient identiques entre groupe test et témoins à 16 et 28 mois après le début de l’expérimentation. Nous observons cependant un effet négatif sur l’endettement personnel (une réduction de 5 points de pourcentage à 16 mois et de 7 points de pourcentage (28 mois)) qui s’est accompagné d’une baisse presque équivalente de l’accès à la propriété. Cette baisse d’accès au crédit semble provenir de l’augmentation du temps passé en recherche d’emploi suite à la participation au programme. Enfin, concernant l’état psychologique des jeunes ciblés, on observe que l’accès au programme a rendu les jeunes un peu plus impatients. Ils ont été aussi moins nombreux à démontrer des niveaux très élevés d’estime de soi. En revanche, les jeunes à qui le programme a été proposé ont été moins nombreux à connaître un état de bien-être psychologique très bas. |
Date: | 2014–05 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:spo:wpmain:info:hdl:2441/7fcgipq8r186grrtgpsuh622ip&r=mfd |