nep-knm New Economics Papers
on Knowledge Management and Knowledge Economy
Issue of 2022‒07‒25
four papers chosen by
Laura Nicola-Gavrila
Centrul European de Studii Manageriale în Administrarea Afacerilor

  1. Teacher Subject Knowledge, Didactic Skills, and Student Learning in Francophone Sub-Saharan Africa By Jan Bietenbeck; Natalie Irmert; Mohammad H. Sepahvand
  2. Structural Change Within Versus Across Firms: Evidence from the United States By Xiang Ding; Teresa C. Fort; Stephen J. Redding; Peter K. Schott
  3. Structural Change Within Versus Across Firms: Evidence from the United States By Xiang Ding; Teresa C. Fort; Stephen J. Redding; Peter K. Schott
  4. Soft skills to innovate and transform organizations By Romaric Servajean-Hilst; Brieuc Du Roscoät; Sébastien Bauvet; Rémi Lallement

  1. By: Jan Bietenbeck; Natalie Irmert; Mohammad H. Sepahvand
    Abstract: We study the effects of two dimensions of teacher quality, subject knowledge and didactic skills, on student learning in francophone Sub-Saharan Africa. We use data from an international large-scale assessment in 14 countries that include individual-level information on student achievement and country-level measures of teacher subject knowledge and didactic skills in reading and math. Exploiting variation between subjects in a student fixed-effects model, we find that teacher subject knowledge has a large positive effect on student achievement, whereas the effect of didactic skills is comparatively small and not statistically significant at conventional levels. Together, the two dimensions of teacher quality account for 36 percent of the variation in average student achievement across countries.
    Keywords: international learning gaps, teacher quality, Sub-Saharan Africa
    JEL: I21 I25 O15
    Date: 2022
    URL: http://d.repec.org/n?u=RePEc:ces:ceswps:_9781&r=
  2. By: Xiang Ding (Georgetown University); Teresa C. Fort (Dartmouth College); Stephen J. Redding (Princeton University); Peter K. Schott (Yale University)
    Abstract: We document the role of intangible capital in manufacturing firms' substantial contribution to non-manufacturing employment growth from 1977-2019. Exploiting data on firms' "auxiliary" establishments, we develop a novel measure of proprietary in-house knowledge and show that it is associated with increased growth and industry switching. We rationalize this reallocation in a model where firms combine physical and knowledge inputs as complements, and where producing the latter in-house confers a sector-neutral productivity advantage facilitating within-firm structural transformation. Consistent with the model, manufacturing firms with auxiliary employment pivot towards services in response to a plausibly exogenous decline in their physical input prices.
    Keywords: Intangible capital, Manufacturing, Employment Growth, Non-manufacturing employment, Firms
    JEL: D24 F14 L16 O47
    Date: 2022–06
    URL: http://d.repec.org/n?u=RePEc:pri:econom:2022-7&r=
  3. By: Xiang Ding (Georgetown University); Teresa C. Fort (Tuck School of Business, CEPR, and NBER); Stephen J. Redding (Princeton University, CEPR, and NBER); Peter K. Schott (Yale School of Management, CEPR, and NBER)
    Abstract: We document the role of intangible capital in manufacturing firms’ substantial contribution to non-manufacturing employment growth from 1977-2019. Exploiting data on firms’ “auxiliary†establishments, we develop a novel measure of proprietary in-house knowledge and show that it is associated with increased growth and industry switching. We rationalize this reallocation in a model where firms combine physical and knowledge inputs as complements, and where producing the latter in-house confers a sector-neutral productivity advantage facilitating within-firm structural transformation. Consistent with the model, manufacturing firms with auxiliary employment pivot towards services in response to a plausibly exogenous decline in their physical input prices.
    Keywords: structural transformation, professional services, intangible knowledge, economic growth
    JEL: D24 L16 O47
    Date: 2022–05
    URL: http://d.repec.org/n?u=RePEc:pri:cepsud:297&r=
  4. By: Romaric Servajean-Hilst (i3-CRG - Centre de recherche en gestion i3 - X - École polytechnique - Université Paris-Saclay - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, Kedge BS - Kedge Business School); Brieuc Du Roscoät; Sébastien Bauvet; Rémi Lallement
    Abstract: L'incertitude, la complexité et l'ambiguïté sont au cœur des sociétés modernes. Les transformations s'accélèrent et représentent un défi incontournable pour toutes les organisations, publiques comme privées. La solution est souvent recherchée à travers les outils, les processus et les organigrammes, alors qu'il s'agit avant tout d'une démarche collective de femmes et d'hommes. Ainsi, une meilleure compréhension de l'innovation et de la transformation dans les organisations nécessite, d'une part, de saisir les caractéristiques individuelles, collectives et environnementales des acteurs qui y contribuent et, d'autre part de comprendre quelles sont les compétences spécifiques des innovateurs[1]. Or, d'importantes compétences requises pour l'activité de ces acteurs ne relèvent pas de la technique ou du métier mais sont de nature socio-comportementale. L'objectif de cette étude est de comprendre lesquelles de ces compétences transversales, ou soft skills, sont mobilisées par ces hommes et ces femmes afin d'innover et de conduire la transformation de leurs organisations. Former les femmes et les hommes, nos talents, à savoir reconnaître et développer leurs soft skills, engager et préparer les équipes à être moteurs de la transformation et de l'innovation sont des enjeux majeurs, car vecteurs de croissance, de compétitivité et d'emploi. Il s'agit de faire encore progresser la France dans l'économie de la connaissance. A cette fin et à l'issue de six années de recherche et de l'analyse de 364 profils de managers, les travaux présentés associent les points de vue de la psychologie de la personnalité, des sciences de gestion et de la sociologie. Ces travaux identifient et évaluent les compétences et les contextes de travail qui favorisent ou freinent les innovations et les transformations, au niveau tant des individus que des collectifs. Ils s'appuient sur un matériau empirique original, recueilli en France entre 2015 et 2020 auprès d'entreprises et d'innovateurs. Dans son volet qualitatif, l'étude se fonde sur des entretiens semi-directifs menés auprès de personnes considérées comme des « innovateurs » : 93 intrapreneurs et 33 startupers. Les éléments obtenus des répondants permettent de caractériser leurs parcours, leurs aspirations, ainsi que leurs représentations de l'innovation. Sur cette base et à partir également de la littérature académique et d'échelles de mesure psychométriques éprouvées, un outil d'évaluation des softs skills de l'innovation et des environnements de travail a été élaboré, l'InnovationProfiler©. La grille de lecture en 25 compétences ainsi obtenue constitue le socle utilisé ensuite dans le volet quantitatif de l'étude, qui est passé par la réalisation d'une enquête en ligne auprès 269 individus au total. Trois catégories de personnes ont été interrogées par ce biais : intrapreneurs (du privé et du secteur public), startupeurs et managers « classiques » (hors postes centrés sur l'innovation). En montrant comment interagissent ces 25 soft skills selon ces trois catégories de personnes, l'étude établit une typologie des innovateurs selon leurs profils de soft skills, ainsi qu'une classification des environnements de travail plus ou moins favorables aux activités d'innovation et de transformation des organisations. Le document en déduit sept recommandations visant à développer les soft skills des personnes et équipes en charge de ces activités, sur le triple plan de l'individu, du collectif de travail et de l'organisation. Pour l'essentiel, ces préconisations impliquent trois séries de leviers qui concernent respectivement la formation et l'accompagnement des personnes, puis l'intégration d'une diversité de profils dans les équipes de travail, et enfin le développement d'environnements capacitants, permettant aux compétences transversales de se réaliser pleinement.
    Date: 2022–05–22
    URL: http://d.repec.org/n?u=RePEc:hal:wpaper:halshs-03669649&r=

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