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on Economics of Ageing |
By: | Azusa Sato (Center for Global Development); Helen Dempster (Center for Global Development) |
Abstract: | Countries throughout Asia are experiencing rapidly aging populations and increasing life expectancy, leading to a large and growing demand for long-term care (LTC) services. Despite the shift to providing care within communities and at home, governments are struggling to provide enough LTC to meet demand. A large part of the constraint is the lack of available workers. While many countries in the region have migration schemes to bring in LTC workers, they are insufficient. At the same time, the COVID-19 pandemic has had an outsized impact on older people throughout the region, and has exposed deficiencies in the structure of migrant care labor. This report explores the impact of these three dynamics—LTC, migration, and COVID-19—on the current and future LTC workforce in the Asian region. It showcases 11 countries of origin and destination, including the demand for and supply of LTC, how it is financed and resourced, and where and how migrant workers are sourced. It puts forward recommendations for how governments throughout Asia can ethically and sustainably increase LTC worker migration; improve wages, working conditions, and recruitment processes within the sector; and learn lessons from COVID-19. |
Date: | 2022–05–09 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:cgd:ppaper:260&r=age |
By: | Benjamin Avanzi; Lewis de Felice |
Abstract: | A retiree's appetite for risk is a common input into the lifetime utility models that are traditionally used to find optimal strategies for the decumulation of retirement savings. In this work, we consider a retiree with potentially differing appetites for the key financial risks of decumulation. We set out to determine whether these differing risk appetites have a significant impact on the retiree's optimal choice of strategy. To do so, we design and implement a framework which selects the optimal decumulation strategy from a general set of admissible strategies in line with a retiree's goals, and under differing appetites for the key risks of decumulation. Overall, we find significant evidence to suggest that a retiree's differing appetites for different decumulation risks will impact their optimal choice of strategy at retirement. Through an illustrative example calibrated to the Australian context, we find results which are consistent with actual behaviours in this jurisdiction (in particular, a shallow market for annuities), which lends support to our framework and may provide some new insight into the so-called annuity puzzle. |
Date: | 2023–12 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:arx:papers:2312.14355&r=age |
By: | Axana Dalle; Elsy Verhofstadt; Stijn Baert (-) |
Abstract: | To extend the labour market participation of seniors, numerouscountries provide subsidies to incentivise their recruitment or employment. Prior research demonstrates that the effectiveness of such subsidies is rather unsatisfactory, although the reasons for this inadequacy remain unclear. Therefore, we examined negative employer perceptions triggered by eligibility for such subsidies that might explain this disappointing effectiveness. To this end, we set up a vignette experiment in which 292 genuine recruiters assessed fictitious candidates on their hireability and underlying productivity estimations. These candidates differed experimentally in their eligibility for a hiring subsidy targeted at the unemployed aged 58 or over. Our results indicate that the subsidy has a negative effect on their hiring outcomes. This adverse effect is explained by negative perceptions that counteract the financial incentive.Specifically, the subsidised candidates signal lower physical and technological skills along with an augmented difficulty in hiring and labour inspection. |
Keywords: | Hiring discrimination, Senior workers, Labour market programmes, Hiring subsidy, Signalling effect, Vignettes |
JEL: | J14 J38 J71 |
Date: | 2024–01 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:rug:rugwps:24/1082&r=age |
By: | Thomas Renaud (LEDa - Laboratoire d'Economie de Dauphine - IRD - Institut de Recherche pour le Développement - Université Paris Dauphine-PSL - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, Legos - Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé - Université Paris Dauphine-PSL - PSL - Université Paris sciences et lettres); Louis Arnault (LEDa - Laboratoire d'Economie de Dauphine - IRD - Institut de Recherche pour le Développement - Université Paris Dauphine-PSL - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, Legos - Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé - Université Paris Dauphine-PSL - PSL - Université Paris sciences et lettres); Florence Jusot (LEDa - Laboratoire d'Economie de Dauphine - IRD - Institut de Recherche pour le Développement - Université Paris Dauphine-PSL - PSL - Université Paris sciences et lettres - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, Legos - Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé - Université Paris Dauphine-PSL - PSL - Université Paris sciences et lettres, IRDES - Institut de Recherche et Documentation en Economie de la Santé - Université Paris Dauphine-PSL - PSL - Université Paris sciences et lettres) |
Abstract: | Le projet européen SHARE (Survey on Health, Ageing and Retirement in Europe) a mis en œuvre, à l'été 2020 puis à l'été 2021, deux enquêtes spécifiques relatives à la pandémie auprès du panel de répondants habituellement sollicité tous les deux ans dans le cadre de l'enquête conventionnelle SHARE. Ces enquêtes SHARE-Corona v1 et v2 ont ainsi permis de suivre l'impact de la pandémie de Covid-19 sur les conditions de vie et de santé des Français et des Européens de 50 ans et plus, à court et à moyen terme. À l'été 2021, plus de 11 % d'entre eux avaient probablement déjà contracté le Covid-19, en France comme en Europe, et près des deux tiers déclaraient ressentir encore des symptômes persistants s'apparentant à des « Covid longs ». Bien que les tests de dépistage du Covid-19 aient été globalement disponibles et encouragés par les politiques publiques, seule une personne de 50 ans et plus sur deux avait déjà réalisé un test de dépistage du Covid-19 à l'été 2021. La majorité des répondants avait adopté des comportements de prévention du Covid-19 conformes aux recommandations dès le début de l'épidémie. À l'été 2020, plus de 80 % des européens disaient « toujours » veiller à se laver ou désinfecter les mains, près de deux tiers d'entre eux respectaient « toujours » le port du masque et/ou les règles de distanciation physique, et un répondant sur deux avait suivi scrupuleusement les injonctions à réduire ses interactions sociales en bannissant les visites à l'extérieur du ménage ou les réunions avec 5 personnes ou plus. Si le respect des gestes-barrières s'était légèrement érodé à l'été 2021, la couverture vaccinale contre le Covid-19 était déjà importante à cette date, avec près de 85 % des panélistes ayant reçu au moins une dose, cette proportion augmentant avec l'âge. En France, 40 % de ceux qui n'étaient pas vaccinés se déclaraient opposés à la vaccination contre le Covid-19. Au cours de la période, un tiers des personnes enquêtées se sont senties tristes, anxieuses, ont connu des troubles du sommeil ou se sont senties seules et environ 20 % d'entre elles ont connu des difficultés à équilibrer leur budget. Ces proportions ne sont toutefois pas supérieures à celles observées dans les enquêtes SHARE traditionnelles, suggérant que les personnes de 50 ans et plus n'ont pas connu de dégradation notable de leur sentiment de solitude, de leurs symptômes dépressifs ou de leur situation financière pendant la crise sanitaire. Les pics de l'épidémie et les réorganisations induites dans les systèmes de soins ont généré de nouvelles difficultés pour accéder aux soins. Depuis le début de la pandémie de Covid-19, environ une personne sur dix déclare avoir renoncé à recourir à des soins par peur de la contamination, en France comme dans toute l'Europe. Une proportion identique de répondants déclare avoir fait face au moins une fois à l'impossibilité d'obtenir un rendez-vous médical. Les répondants ont enfin subi des annulations et reports de soins, particulièrement massifs lors de la première vague épidémique : plus d'un répondant sur trois déclarait alors avoir eu au moins un soin ou un rendez-vous médical reporté. En France, seuls 60 % de ces besoins de soins non couverts avaient pu être rattrapés à l'été 2021, avec un non-rattrapage des soins particulièrement marqué chez les hommes de moins de 65 ans. |
Keywords: | SHARE, Covid, Vieillissement, Santé, Soins, France |
Date: | 2023–12 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:hal:journl:hal-04329571&r=age |